Prélevée dans l’ADN d’un monde perdu, la rage de l’Indoraptor éventre la cupidité humaine. Dommage que la créativité mute dans la facilité.
Déception tout de même pour ce film car j’en attendais mieux avec Juan Antonio Bayona ( même si je l’ai préféré au précédent film de Trevorrow) . Revenir à Spielberg et son monde perdu était une bonne idée mais pas suffisante car pour le reste cela manque d’inventivité et d’originalité.
Les ruptures de rythme sont nombreuses , l’intrigue est banale et prévisible avec les mêmes thèmes en boucle ( la génétique , le clonage, la cupidité et le manque d’éthique de certains hommes , le devenir de notre humanité qui va à sa perte etc) Le film ouvre bien sûr sur la suite d’un nouvel opus ) Restent quelques belles scènes : l’engloutissement de l’île et le volcan ou la poursuite sur les toits avec l’ "Indominus Rex" )