C'est sur une scène quasi documentaire que s'ouvre Kadosh. Mais c'est tout le film qui contient des passages qui semblent documentaire pour un occidental comme moi. Ce qui frappe, c'est l'excès et le totalitarisme religieux (et dont les femmes sont les victimes). Cependant, Amos Gitai ne juge pas, le film respire l'humanité et le respect de la communauté concerné, même si par quelques exemples d'absurdités, il dénonce ce totalitarisme sans borne.
Cependant, je l'avoue, j'ai mis du temps à entrer dans l'ambiance lente et parfois étouffante du film.