A man can't stand, he can't fight.
Précisons d'abord que j'aborde ce KK3 le sourire aux lèvres et sans aucun bagage narratif, puisque je n'ai absolument jamais vu les deux premiers opus. La cohèrence, ça a jamais été mon fort.
Du coup, je juge ce que je vois, sans aucun bons souvenirs quelconques liés aux originies de la saga ravivés par cette chose. Evidement, j'ai pas tout compris, mais ça vaut sans doute mieux, cette histoire de bonsai n'est pas du tout sûre de pouvoir remporter mon adhésion.
Ce que j'ai vu les filles, c'est quelque chose qui a eclipsé absolument tout le reste, c'est le bad-guy, c'est Zlatan McConaughey. Cette tête et cette queue de cheval, c'est comme les deux Corées : deux trucs qui ne peuvent pas, ne doivent pas, et n'arrivent pas du tout à s'entendre.
Ayant vécu tout le film dans la terreur d'un incident nucléaire, je vous laisse imaginer à quel point j'en ressort secoué ; à part ça, des moments sympatoches me viennent en tête, nottamment avec les mini-méchants, le Karate Kid était insupportable mais au moins il meublait, le mentor sino-japonais a tout chouré à Yoda mais il arrive à faire passer des émotions à travers sa barbichette et ça, c'est la marque des grands.
Et je vous ai parlé de son rêve d'ouvrir un magasin de bonsais ?