Trois parties très inégales dans leur durée et leur réalisation. D'abord une introduction sympa renforcée par la présence lumineuse de Julie Delpy. La deuxième partie constitue le maillon faible du film, alors OK, j'entends les critiques, on ne se came pas avant un casse, sauf que c'est le sujet du film : un casse réalisé par des camés. Cette partie est trop longue et ennuyeuse d'autant qu'elle est encombrée de digressions inutiles. Avec la troisième partie c'est l'explosion de la violence et de la folie meurtrière montrée sans aucune concession, ça fait peur, c'est fait pour ça et ça fonctionne. Et saluons au passage la performance hallucinée de Jean-Hugues Anglade.