Le film commence comme un cube classique : Plusieurs personnes sont enfermées ensemble dans ce qui semblerait être un immeuble désaffecté, elles ne se connaissent pas. Alors on se dit directement, « ah, c’est personnes doivent avoir un lien entre elles », et ça se confirme plus tard, etcetera etcetera, pour l’originalité on repassera.
Clichés au niveau des personnages également : On a 1°) La connasse qui se fait tuer au bout de 2 minutes 2°) Le pervers qui ressemble comme deux goûtes d’eau à marc dutrou 3°) Le black super véner 4°) L’arabe conservateur qui se fait passer pour un con 5°) Celle qui sert à rien 6°) Le héros, âme torturée 7°) La meuf qui va devenir la pote du héros et peut-être plus si affinité, mais qui découvrira que son pote le héros est impliqué dans un aspect négatif de sa vie 8°) La petite fille avec un beau petit nœud dans les cheveux et une joooooliiie robe blanche, que le pédophile (2°)) convoitera. Cependant, on se doute bien qu’elle n’a aucune raison d’être là.
Voilà, le décor est placé. Chaque héros devra affronter son plus gros péché, ils vont découvrir les liens qu’ils ont entre eux, et probablement que le héros, la femme et la petite fille s’en sortiront en trouvant la force de trouver la paix intérieure.
Fin.
Ah non, y a des monstres aussi, dirigés pas Jason Martorino, que je ne connaissais pas avant. Mais il est vraiment cool cet acteur !
Et pour le grand final, la petite fille était bien sûr l’instigatrice : elle est trop petite pour avoir réellement péché, et donc n’a aucune raison d’être là (comme dit plus haut).
Voilà comment on part d’une situation simple pour arriver à un dénouement simple, pour plaire aux spectateurs simplistes.
J’ai quand-même mis la moyenne pour Jason Martorino. Il est cool Jason Martorino.