Le film revisite les années lycée sans aucune prétention et nous remémore avec tendresse cette époqu

Avec un scénario qui nous rappelle le début de Glee (le joueur de foot qui est obligé de participer au club de théâtre de son lycée et qui finira par trouver sa vocation), « Kiss Me You Fucking Moron » s’empare du stéréotype hollywoodien de l’amour adolescent entre le garçon populaire et la fille exclue et lui donne une touche nouvelle, avec une délicatesse et un réalisme en plus qui plaira autant aux adolescents qu’aux adultes. Avec un jeu de lumières qui symbolise parfaitement la montagne russe émotionnelle de l’adolescence, le réalisateur combine le froid des paysages à la chaleur des personnages pour nous offrir une fable sur l’amitié, la persévérance et le premier amour. Et même si l’histoire est prévisible, les personnages sont hauts en couleur, bien à leur place et n’utilisent pas le drame ni le côté superficiel des traditionnels films d’ados : ils ne sont pas de jeunes tourmentés par leur passé ou accablés par des problèmes familiaux, mais de simples garçons et filles qui ont les mêmes inquiétudes, celles inhérentes à l’adolescence. « Kiss Me You Fucking Moron » revisite les années lycée sans aucune prétention et nous remémore avec tendresse cette époque marquante d’une vie.
Critique extrait de notre blog Los Indiscretos : https://losindiscretos.org/francais/kiss-me-you-fucking-moron-2013-stian-kristiansen/

losindiscretos92
7

Créée

le 28 oct. 2016

Critique lue 440 fois

Critique lue 440 fois

D'autres avis sur Kiss Me, You Fucking Moron

Kiss Me, You Fucking Moron
magyalmar
7

L'esquive, en plus nordique

L'affiche semble annoncer une comédie romantique bêta et joviale, mais vous savez bien que les apparences sont souvent trompeuses. Pour commencer, et histoire d'envoyer valdinguer un bon gros cliché,...

le 24 juil. 2016

2 j'aime

Kiss Me, You Fucking Moron
jujumaries
8

taksomitak

J'ai bien aimé le côté "jeunes qui se découvrent et apprennent à comprendre la vie", sous le prisme d'une pièce de théâtre qu'ils jouent. Ça soulève des questionnement philosophiques sur les...

le 5 janv. 2017

Kiss Me, You Fucking Moron
losindiscretos92
7

Le film revisite les années lycée sans aucune prétention et nous remémore avec tendresse cette époqu

Avec un scénario qui nous rappelle le début de Glee (le joueur de foot qui est obligé de participer au club de théâtre de son lycée et qui finira par trouver sa vocation), « Kiss Me You Fucking Moron...

le 28 oct. 2016

Du même critique

Johnny Stecchino
losindiscretos92
8

Un quiproquo autour d'une banane...

Plusieurs années avant sa consécration internationale dans « La vie est belle », Roberto Benigni enchaîne les succès avec une série de comédies qui connaissent un réel succès en Italie. Johnny...

le 26 oct. 2016

4 j'aime

Le Maître d'escrime
losindiscretos92
9

Un drame historique et poétique !

Drame historique et poétique sélectionné parmi les 5 finalistes aux Golden Globes, The Fencer raconte l’histoire vraie de Endel Neils, porté par le charismatique Märt Avandi. Ce dernier revient dans...

le 20 oct. 2016

4 j'aime

The Taqwacores
losindiscretos92
8

The Taqwacores va non seulement à contre-courant mais pose aussi des questions fondamentales

Si le punk musulman existe depuis le début des années 80, il aura fallu attendre le livre de l’Américain Michael Muhammad Knight pour le faire connaître en 2003. The Taqwacores est donc l’adaptation...

le 4 janv. 2017

1 j'aime