Critique de Konga par inspecteurmorvandieu
Un savant anglais teste sur un inoffensif chimpanzé un breuvage de sa composition décuplant la croissance et favorisant l'obéissance. Par conséquent, le petit chimpanzé Konga se transforme...en...
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Un savant anglais teste sur un inoffensif chimpanzé un breuvage de sa composition décuplant la croissance et favorisant l'obéissance. Par conséquent, le petit chimpanzé Konga se transforme...en gorille! Une ineptie parmi d'autres dans cet inénarrable nanar du cinéma fantastique anglais.
Si, à la fin du film, Konga est un géant -l'affiche du film spoile un maximum!- avatar de King Kong arpentant la ville, il est pour l'heure un simple animal étrangleur au service du mégalo et distingué scientifique Decker, lequel élimine ses contradicteurs et même ses jeunes rivaux amoureux... Autant de scènes grotesques en vertu de la peau de bête élémentaire dont est affublé un comédien anonyme et assez peu rigoureux dans ses attitudes simiesques!
Pour autant, faute de moyens et d'un scénario original, cette série Z à l'anglaise donne beaucoup dans le bavardage entre Decker et différents intervenants, tous personnages crétins et acteurs médiocres. Le réalisateur John Lemont meuble, c'est évident, en imaginant des antagonismes factices et surtout des postulats scientifiques puérils et redondants. Tant de palabres aussi stériles et stupides paraissent devoir dispenser les acteurs d'une quelconque action et confinent à l'ennui, tout en constituant une "dramaturgie" d'une ringardise et d'une vacuité réjouissantes.
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Clairement un nanar ce spin off de King kong version britannique ce regarde avec humour. On notera la participation du Alfred des batman de Tim Burton (Je suis sur qu’il a adorer ce film étant jeune)
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