Hier après-midi, je suis allée voir le documentaire sur le leader du groupe Nirvana « Cobain : Montage of Heck« . Je suis habituellement peu sensible à ce type de format, mais je dois saluer l’orignalité de ce documentaire et la façon unique dont Brett Morgen est parvenu à m’embarquer.
Les premères images débutent sur une interview. En l’espace de quelques secondes, je crains de devoir supporter pendant plus de deux heures, cet aspect narritif que je trouve chiant au possible (dans une salle de ciné en plus!), mais très vite, je me rends compte que ça ne sera pas le cas. L’interview est entrecoupée par des séquences filmées du concert de Nirvana. Des cris, du son qui m’assaillent les tympas. Kurt Cobain est dans un fauteuil roulant. Il peine à se mettre debout. Se raccroche à son micro avant de s’effondrer. C’est ainsi que le documentaire débute et une sensation de malaise m’envahit déjà. Car tout le monde connait le destin tragique de Kurt. Ces images – que nous comprendront mis en scène ensuite – permettent d’amorcer la fin.
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