Un malheureux 4/10 et encore je suis généreux moi qui m'attendais à la grande aventure mais c'est plutôt de la grande déception que j'ai ressenti en visionnant L'Aigle des mers.
Certes je reconnais que les moyens sont là et on sent de l’ambition derrière cette œuvre, mais Curtiz d’habitude si vif dans sa mise en scène peine ici à démarrer son film et la 1ère heure est plus proche d’un film romantique qu’autre chose, de plus on doit se coltiner une assez fade Brenda Marshall alors qu'on eût préféré la belle Olivia de Havilland.
La scène d’abordage est de qualité mais elle est gâchée en partie à cause de corsaires plus rigolards que belliqueux. C’est la 2nde heure de L'Aigle des mers qui rehausse l’ensemble et se lance réellement dans l’aventure et moins dans le blabla.
Reste le plaisir de voir Errol Flynn.