Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.
détaché de tout élément critique, simplement parce que l'aile ou la cuisse est servi par un excellent duo Coluche et de Funès, même si le poids du temps se fait sentir et malgré les défauts qui jonchent l'ensemble.
Alors qu'aujourd'hui on trouve du cheval dans des plats au boeuf, alors qu'on nourrit des herbivores avec de la viande, alors que le saumon bouffe lui aussi de la barbaque, il est certain que Tricatel ne doit être loin.
Il n'y a pas un Tricatel mais une armée de Tricatel agissant avidement dans l'ombre avec la volonté de remplir l'estomac de la terre entière.
Créée
le 8 mars 2013
Critique lue 1.3K fois
32 j'aime
D'autres avis sur L'Aile ou la Cuisse
Aujourd'hui, L'Aile ou la cuisse est devenu une comédie très populaire dans l'esprit des gens, mais personnellement dans la filmographie de De Funès, je ne le place pas au même niveau que les films...
Par
le 27 oct. 2017
42 j'aime
29
Tous les ans sort le fameux guide rouge, celui qui, à l'aide d'étoiles et de commentaires parfois acerbes, vous indique les meilleurs restaurants ou vous recommande, pour le bien-être de votre...
Par
le 20 mars 2013
34 j'aime
8
détaché de tout élément critique, simplement parce que l'aile ou la cuisse est servi par un excellent duo Coluche et de Funès, même si le poids du temps se fait sentir et malgré les défauts qui...
Par
le 8 mars 2013
32 j'aime
Du même critique
La grande majorité des films de Carpenter partent d'un conflit, un conflit qui tend à supprimer l'individu au profit de quelque chose de plus global et surtout de maîtrisé. En somme le cinéaste n'en...
Par
le 23 nov. 2012
62 j'aime
10
McMurphy est un électron libre, il tente de se soustraire à la prison est choisissant l'option hôpital psychiatrique mais les fenêtres ici aussi ont des barreaux. Il va aussi découvrir que les...
Par
le 8 mars 2013
60 j'aime
4
Fin de l'obscurité, fin d'un film, dehors la pluie venait de cesser. Les rues brillaient, la foule réapparaissait, les parapluies se fermaient. Peu à peu toute la ville reprenait son ronronnement...
Par
le 12 oct. 2010
58 j'aime
12
