Les deux fauves
Dans la filmographie de Melville, "L'ainé des Ferchaux" (1963) se situe entre "le Doulos" (1962) et "le deuxième souffle" (1966). C'est un film noir inspiré d'un roman de Simenon que je ne connais...
Par
le 27 nov. 2021
7 j'aime
4
On retiendra la bonne prestation de Vanel et l'assez bonne de Belmondo, même si on leur fait dire des âneries (la réplique en référence à Brutus est à mourir de rire au second degré). Les autres acteurs sont transparents, quant aux femmes, on se demande si elles intéressent Melville !. Mais parlons du film, on croit être parti pour un polar mais ce n'est pas vraiment ça, alors un film sur l'évolution entre un homme et son employeur, ici cette évolution au lieu d'être graduelle parait artificielle, non maîtrisée, la même année Losey sortait The Servant, et il n'y a pas photo,) de plus il faut faire avec les séquences et les plans inutiles, des invraisemblances, des passages incompréhensibles, et ces longueurs qui ne génèrent que l'ennui, et en plus c'est réac (Belmondo qui se permet de reprocher à Vanel d'entretenir des femmes, alors que lui-même est abject avec sa petite amie) Quant à la fin… bof !
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Georges Simenon au cinema
Créée
le 18 déc. 2018
Critique lue 805 fois
1 j'aime
D'autres avis sur L'Aîné des Ferchaux
Dans la filmographie de Melville, "L'ainé des Ferchaux" (1963) se situe entre "le Doulos" (1962) et "le deuxième souffle" (1966). C'est un film noir inspiré d'un roman de Simenon que je ne connais...
Par
le 27 nov. 2021
7 j'aime
4
Après Léon Morin prêtre et Le Doulos, Melville clôt son cycle Jean-Paul Belmondo avec ce curieux Aîné des Ferchaux… Ensuite, il se tournera définitivement vers le cinéma commercial, même si Le...
Par
le 6 juin 2014
7 j'aime
1
Un film étrange, indolent, désincarné, dans lequel Melville semble plus amoureux des paysages qu'il film (l'Amérique, la vraie, la profonde), que par ses acteurs ou son intrigue. Vanel tire (comme...
Par
le 9 sept. 2011
3 j'aime
9
Du même critique
On a parfaitement le droit de ne pas aimer un film, après tout, tout le monde n'a pas le même ressenti. N'empêche que certains arguments de ceux qui vomissent le film (le mot est faible) semblent...
Par
le 13 févr. 2022
36 j'aime
17
Entre ceux qui crachent leur fiel sur le film et ceux qui crient au génie, il faut peut-être raison garder et faire la part des choses. Globalement "Voleuses" est un film sympathique à la vision...
Par
le 2 nov. 2023
33 j'aime
14
Il est parfaitement normal que le ressenti face à une œuvre soit différent suivant les spectateurs, mais quand je vois tant de gens crier au chef d'œuvre, je tombe du placard. Au-delà des critères...
Par
le 25 juin 2022
25 j'aime
10