La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Dernière année de lycée dans une classe romaine. Amours contrariées et bachotage modéré. Luciano Emmer est fidèle au procédé utilisé dans son premier film, Dimanches d'août : une oeuvre chorale où se confrontent les classes sociales. Le ton est léger, dramatique par instants du moins dans la vie de ces adolescents qui surfent entre élans du coeur, professeurs imbuvables et parents rigides. Un peu trop de personnages pour que l'on s'attache plus particulièrement à l'un d'entre eux mais la vie scolaire est assez bien sentie et Emmer est toujours fluide dans sa mise en scène. Film mineur dans le cinéma italien des années 50 mais absolument pas négligeable.
Créée
le 30 août 2019
Critique lue 115 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
73 j'aime
14