Un film surprenant dont la fin est magnifiée par la musique de Georges Delarue ( Stellaire tirée de la série télé Tours du monde tours du ciel). Je ne suis pas habitué à écrire des critiques de films et je n'ai aucune compétence cinématographique. Je vais simplement dire ce que ce film a éveillé en moi. J'ai songé à la soif que nous portons en nous d'un absolu, d'un Ailleurs, d'une inaccessible étoile comme disait Jacques Brel. Cette soif inhérente à l'être humain, les religions ont tant bien que mal tenté de la canaliser avec tout leur attirail religieux propre et ont voulu se l'approprier avec le risque de croire que chacune d'elle en a l'exclusivité. Comme si on pouvait confondre le doigt avec la lune qu'il désigne.