Buck in the wild

Cette nouvelle adaptation de The Call of the Wild était exactement ce que je voulais voir ce soir-là : une belle histoire d'amitié et d'émancipation sans prise de tête. Le film est découpé en deux parties bien distinctes avec chacune leur ambiance, et chacun y trouvera son compte, même si le tout reste très familial. Omar Sy et Harrison Ford amène tout deux un jeu bien différent, et Buck est incroyablement attachant et stupéfiant dans son animation. A voir !

[EDIT 1 jour plus tard]

Même si je ne suis pas très surpris, je trouve ça bien rigolo tous les reproches par rapport à 1: c'est une mauvais adaptation et 2: le chien est en CGI c'est nul.
1. Je n'ai pas vu le livre et franchement je m'en fous car je pars du principe qu'une adaptation n'a aucun compte à rendre à l’œuvre original. Je me remercie tous les jours d'avoir encore la capacité de dissocier deux œuvres entre elles, heureusement parce que sinon je n'irai pas souvent au cinéma :p.
2. On est en 2020 les gens. Déjà bon c'est pas full CGI, y'a un acteur derrière Buck, Terry Notary, qui est un peu le Andy Serkis de l'ombre. Pourquoi on cracherait sur Buck alors qu'on a tous acclamé le Kong de Peter Jackson ? Et puis vous vous rendez compte du boulot qu'il y a derrière ? Du taf qu'il faut pour faire transparaître des émotions à partir d'un acteur "déguisé numériquement" en chien ? Ceux qui ne sont pas foutus de ressentir la moindre chose pour ce Buck là feraient mieux de se demander si c'étaient pas eux le problème. Après tout, quand vous lisez le livre, le Buck du livre n'existe que dans votre tête ; ça donnerait quoi si vous le mettiez dans un film ? Bordel quoi :p.