Si la réalisation des chiens en images de synthèse choque un peu au début, on finit par s'y habituer à peu près.
J'ai cependant un peu de mal avec les expressions de "visage" bien trop renforcé sur ces animaux et encore plus de mal avec la quantité de décors numérique utilisés pour représenter la nature.
Evidemment on n'échappe pas à une mise sous silence des aspects et "sentiments" plus "bestiaux", à la fois de ceux ressentis par Buck à travers cet appel du sauvage, mais aussi de ceux exprimés par une meute de chiens.
On se concentre donc sur des sentiments et des émotions anthropomorphique, c'était inévitable pour rendre le film plus enfantin et familial, mais on perd par la même une grande partie de l'intérêt de l'oeuvre initiale.