Hagiographie édifiante, jouée dans les pires tons de la solennité ou de l'effet entendu. Subventionné en partie par 100 000 souscrivants français, ce qui fait du film aussi le miroir de la bêtise de l'homme-nation, et de notre bêtise en tant qu' "acquiesceurs" de valeurs collectives.
Créée
le 23 oct. 2018
Critique lue 262 fois
Du même critique
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
Par
le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
Par
le 2 oct. 2015
11 j'aime
La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
Par
le 8 mars 2016
10 j'aime
1
