Deux soldats russes partent chercher du ravitaillement dans une zone occupée par les nazis. Faits prisonniers et torturés comme leurs compagnons d’infortune, ils réagiront différemment au traumatisme vécu. Grâce à une mise en scène d’une précision rare, Larissa Chepitko parvient parfaitement à mettre en images les divergences psychologiques observées entre les personnages.
Par son atmosphère mystique et sa métaphore christique, L’ascension renvoie aux premières œuvres d’Andreï Tarkovski.
Ainsi, l’étouffante ascension titre finale prend les apparences d’un chemin de croix dont nous savons, dès le début, où elle mènera les protagonistes…
Lire la critique complète.