La Renaissance
Même si ça paraît impossible, il faudrait, à un moment, mettre de l'ordre dans les rôles de chacun dans les productions de Tsui Hark, où il est tout de même très souvent considéré officieusement...
le 13 août 2017
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Il s’agit d’un remake de « L’auberge de la porte du dragon » (« Dragon gate inn ») (1967), réalisé à Taiwan par le chinois King HU (1931-1997). L’histoire se déroule sous la dynastie Ming (1368-1644). L’auberge du Dragon, située en plein désert (de Gobi ?), dirigée par une maitresse-femme, est le point de convergence de tous les protagonistes : 2 enfants (frère et sœur) du ministre des armées, Yang, tué par l’eunuque qui a pris le pouvoir, l’oncle Chow [TONY LEUNG Ka-Fai et qui se fait connaitre la même année à l’international dans le rôle-titre de « L’amant » (1992) de Jean-Jacques Annaud] et sa fiancée Yau et les soldats qui escortent l’eunuque. Le réalisateur excelle dans le genre Wu-Xia avec les combats très aériens et chorégraphiés, mâtinés d’une ambiance de western spaghetti. Il y ajoute même une touche macabre et fantastique
(cannibalisme, giclées de sang, évocation des règles de la patronne de l’auberge, transformation de l’eunuque en squelette).
Créée
le 28 févr. 2021
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