L'intention était louable : décrire l'héritier sympa d'un empire industriel, propulsé du jour au lendemain dans un monde de loups où tous les coups sont permis. Le soucis c'est que les bonnes intentions ne suffisent pas. Nous avons affaire ici à un film mal fabriqué. Trop monté à ce point que parfois certaines scènes n'aboutissent sur rien ou sont à la limite du compréhensible. La psychologie des personnages est rudimentaire. Les scènes d'actions tournent au grand n'importe quoi, (les mecs qui tirent sur les encadrements de photos et qu'on déloge à la grenade !). Les rares tentatives d'humour tombent à plat (Bebel qui se baigne en pantalon, qu'est-ce qu'on rigole !) Les dialogues sont souvent artificiels (voir le premier échange entre JPB et le curé) et on ne saura jamais le secret de la pierre Maya. A sauver le sourire de ces dames qui sont charmantes (Carla Gravina et Maureen Kerwin)