Une série B réalisée par Jacques Tourneur typique produite par la RKO et en particulier par Val Lewton, des spécialistes de l'épouvante à petits frais. Le film s'appuie sur le succès de La Féline l'année précédente et utilise les mêmes techniques narratives, de la suggestion, une bête fauve et enfin une mise en scène qui tente de faire endosser aux spectateurs la peau de la personne agressée par des gros-plans. Si l'on accepte ce minimum d'effets et d'efforts, on passe un moment agréable devant cet Homme-Léopard, sinon il est plus difficile à apprécier.