Le titre ne peut pas laisser indifférent, associer le dictateur allemand à cette créature imaginaire relève de la pure fantaisie. L’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot se montre plutôt passionnant dans sa première partie grâce notamment à un impeccable Sam Elliott. On accompagne cet homme dans ses souvenirs mais on partage aussi la solitude dans laquelle il est désormais plongé. Toutefois, au générique de fin, on en est même à se demander si la partie du bigfoot n’a pas juste été ajoutée simplement pour éveiller notre curiosité. La traque de la créature arrive assez tardivement et semble même expédiée tenant tout au plus sur 20 minutes. Le film nous laisse donc avec ce sentiment mitigé qu’il n’a pas tenu toutes ses promesses et on en sort avec une certaine déception.
Créée
le 13 avr. 2021
Critique lue 847 fois
3 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur L'Homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot
L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot, un nom qui à première vu flaire bon le film d'action de série B complètement barré voir décérébré ou bien un curieux nanar sorti du fin fond des DTV, mais...
Par
le 1 janv. 2022
11 j'aime
8
“The Man who killed Hitler and then the Bigfoot”. En français dans le texte, “L’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot” ! Késako ? Et bien, voici l’un des titres de film les plus improbables...
Par
le 13 avr. 2021
5 j'aime
Il ne faut pas se fier au résumé digne d'une série B du samedi soir à mater autour d'une pizza en buvant quelque bières. Ce film propose quelque chose qui va bien au delà de son postulat, très...
Par
le 18 févr. 2019
4 j'aime
Du même critique
Après deux films qui se consacraient à l’univers des jeunes, le réalisateur Tristan Séguéla oriente sa 3ème comédie vers un tout autre domaine. On se retrouve ainsi avec un Michel Blanc dans la peau...
Par
le 1 juil. 2020
10 j'aime
3
Alex Pettyfer, Vanessa Hudgens & Mary-Kate Olsen ; un casting qui nous laisse déjà dans l'expectative et malheureusement la prédiction s'avère juste ! Version modernisée de La belle et la bête,...
Par
le 4 juil. 2011
9 j'aime
2
L'idée de départ à savoir transformer une sœur aimante et volontaire en un monstre d'égoïsme élevait le film à un autre niveau et permettait alors d'interroger le spectateur sur une situation des...
Par
le 30 janv. 2011
8 j'aime
1
