Harold Fry apprend pour le cancer de son amie Queenie. Il décide de la rejoindre à plus de huit cents kilomètres, convaincu que tant qu’il marche, elle survit.
Encore un film sur un exploit de randonnée mais alors que je reprochais récemment un manque flagrant de rencontres remarquables dans Sur les chemins noirs, ici, c’est le contraire, on a un joli florilège d’abouchements ; j’ai préféré l’aspect romanesque et la créativité d’une histoire inventée à la terne véracité. La raison d’être de ce très sympathique voyage est fabuleusement dramatique et inhibée par notre pèlerin. Jim Broadbent est époustouflant et tendrement lacrymal.