alors, la fin justifie-t-elle les moyens ?
Un film bien manichéen, où un dingue sévit dans SF (qui parle encore de cette ville si à la mode dans les années 70 ?) et tue une personne aussi innocente que possible par jour en faisant monter les enchères.
Dirty Harry l'arrête, mais le tueur est relâché parce que son arrestation ne s'est pas faite selon les "règles". La prochaine fois Dirty Harry ne lui laissera aucune chance.
Incroyable, j'avais un souvenir d'un film dur, violent, et là, ben j'ai même pas cillé une seule fois. N'en déplaise à Torpenn, Parasaurolophus a raison. La guerre du goife est passée par là, Guantanamo aussi. Et peut-être bien Sarko. Bref on accepte sans broncher que oui, la fin justifie les moyens.
Faut dire que l'accent n'ai pas vraiment mis sur le côté légaliste, donc on a quelques excuses à soutenir Harry, mais on devrait quand même se méfier. La démocratie est fragile et elle s'use lorsque l'on ne s'en sert pas.