Piscine commence son récit comme Rose dans Titanic, coïncidence, on aborde le naufrage d’un bateau. C’est là qu’on se demande pourquoi toute cette longue narration initiale. Puis un voyage visuel commence avec ce gamin attachant et émouvant. Malheureusement à trop vouloir toucher tous les publics on tombe dans le marketing des religions. Et puis on oublie tellement cette rencontre avec la mer, Richard Parker ou encore l’île carnivore est prenante. Et puis, retour à la narration avec une seconde version de ce naufrage. On comprend alors l’utilité du début et on pardonne. En bref Ang Lee nous offre un film merveilleux qu’il faut apprécier à sa juste valeur.