D'emblée la mise en scène a tous les travers du cinéma américain : l'Allemagne de 1923 n'est qu'un décor.
Le film dérape à partir de l'interrogatoire grand-guignolesque [36′] pour sombrer avant de conclure dans le discours politiquement correct (il aurait fallu tuer le serpent dans l'œuf ) alors que Bergman fut fasciné par l'idéologie nazie.
Le jeu de David Carradine n'est pas convaincant avec sa boucle d'oreille et ses chaussures de maquereau.
Lire plutôt : Erich Maria REMARQUE, L'obélisque noir, 1956 [Partage en ligne].