7
Un film canon
Le film commence par un résumé des célèbres Canons de Navarone. En voyant ça, on a déjà un peu peur : un film de guerre de la fin des années 70 qui se voudrait la suite d'un classique du genre ? Le...
Par
le 7 avr. 2013
13 j'aime
4
Ford fait tout péter
Héhé, au risque de paraître raciste, j'ai confondu Carl Weathers avec Billy Dee Williams ; ainsi je me suis dit tout au long du film : c'est marrant de voir Han Solo et Lando dans un autre film ensemble. Hum. Sinon, ben c'est un chouette film.
L'intrigue est un peu longue, c'est parfois alambiqué, parfois facile, parfois pas très clair, mais globalement ça se suit bien, il y a des conflits pour rendre le récit prenant, une dose d'humour agréable, des personnages sympas. C'est un point de vue intéressant sur cette guerre, j'ai surtout apprécié le foutoir apparent : on a des infos qui sont p'tet des intox ou juste des infos périmées. Faudrait que je chope le premier volet.
La mise en scène est un peu statique, mais le découpage reste efficace. Les acteurs ont l'occasion de fournir une prestation comique et dramatique. C'est un peu long mais ce rythme est cohérent du début à la fin. Les acteurs font du bon boulot, rien de transcendant, mais on s'amuse ; Shaw et Ford forment un bon duo.
Bref, ça se regarde avec plaisir.
7
Écrit par
Créée
le 7 juin 2018
Critique lue 205 fois
1 j'aime
6 commentaires
D'autres avis sur L'ouragan vient de Navarone
7
Navarone, c'est magique !
Cette vraie fausse suite au film les Canons de Navarone réalisé en 1961 par Jack Lee-Thompson, fut vilipendée à sa sortie, et elle l'est encore aujourd'hui. Evidemment, on se sert du mot magique de...
Par
le 25 janv. 2017
8 j'aime
4
7
De l'eau de là haut
Guy Hamilton sort de trois James Bond et on voit que ça a jouer sur sa façon de faire ce film. Non seulement dans la réalisation mais également dans la narration. Les surprises et les retournements...
Par
le 19 avr. 2021
5 j'aime
2
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
121 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
108 j'aime
55
