On peut le voir comme un précurseur du slascher en se foutant pas mal du scénario, et là on est assez bien servi (Vendredi 13 ne fera que copier). On peut le voir comme un polar sanglant et essayer de raccommoder le scénario et là, je vous conseille l'aspirine… On peut aussi le voir comme un film bancal où le meilleur côtoie le pire, le meilleur étant la magnifique scène d'introduction, l'étonnante scène finale et dans un genre différent les péripéties aquatiques et naturistes de la très pulpeuse Brigitte Skay, le pire étant sans doute la prestation calamiteuse de Claudine Auger.