Un hommage à ses hommes qui ont combattu pour nous mais aussi à ceux par qui la chirurgie maxillo-faciale à permis de faire des pas de géants.
Le coté intimiste, soutiens entre les participants, tous solidaire , profondément marqués par le suicide de l'un d'eux mais aussi par le regard des autres. A cette époque, on ne se préoccupait que peu de l'impact psychologique sur les civils et les patients et la préparation à la possible réinsertion sociale était quasi inexistante.
Même si le titre est "La Chambre des officiers" j'aurais personnellement souhaité que l'on parle un peu plus du simple poilus, lui aussi, touché par cette misère. On ne connait sa réalité que parce qu'Adrien s'échappe de sa chambre, et avec par les confidences de son infirmière.
Ce film est pour moi une oeuvre magistrale qui aurait gagné à être un peu mieux connu.