Le western nanarnesque.

Avant tout, je remets les choses dans leur contexte, j'ai vu ce film en "ouverture" (c'est le premier film que j'ai vu lors de cette édition) du Festival du Film de La Rochelle.
Si je mes ouverture entre parenthèse c'est que je ne suis pas allé au vrai film d'ouverture du festival et que celui-ci était le premier film que je suis allé voir du festoche, il y a maintenant deux ans.

Si j'écris cette critique aujourd'hui, c'est parce que je suis encore aujourd'hui hanté par ce film^^

Car c'est la première fois de ma vie que je voyais un western aussi nanarnesque.
Ce film sonne aussi faux que sa musique, qui est stridente, et qui n'a aucun charme; Il n'y a aucunes transitions entre les musiques, ce qui paraît parfois très agressif !
Oui un vrai navet, comme je n'en avais encore jamais vu en western (le western étant un genre qu'à la base je n'apprécie guère, dont du coup je n'ai pas vu une masse de films).

Pour moi, une des seules choses qui relève le niveau du film, est que le héros est au final du coté des amérindiens, ce qui pour l'époque est étonnant je pense, et bien évidemment qu'il finit avec la seule bonne actrice du film, Suzanne Pleshette.

Heureusement pour moi, j'ai quand même pu passer un bon moment, dès lors que j'ai réalisé qu'en fait c'était un nanar, en prenant le film au second degré.