La première heure comprend son lot d'idées intéressantes malheureusement noyées dans beaucoup de bavardage, il faut dire aussi que Grégory Peck est très monolithique et se fait voler la vedette pas un étonnant Millard Mitchell. La dernière partie tourne carrément au naufrage, Helen Westcott n'arrivant pas à donner correctement la réplique à Peck, et comme si ça ne suffisait pas on nous impose une mièvrerie avec un petit niard tête à claques. Quant à la mort de Peck qui aurait pu être grandiose, elle vire au mauvais théâtre.