Cité inhospitalière
A travers le regard de Tato flanqué de ses deux meilleurs amis que sont Pitu et La Crespa, La ciudad de las fieras raconte une « Histoire de ma famille », mention portée en fin de métrage...
le 4 avr. 2021
Après avoir perdu sa mère, Tato, 17 ans, féru de hip-hop, est envoyé à la campagne auprès de son grand-père qu'il ne connait pas. Medellin, ses combats de coq, ses joutes de rap et ses bandes armées ... Et la ruralité autour, avec son mode de vie traditionnelle et ses poules pondeuses. Le film de Rincon Orozco est une sorte de passage à l'âge adulte, avec reconnexion à une histoire familiale tue jusqu'alors. La violence de la ville est une toile de fond mais La ciudad de las fieras se décline plutôt sur un mode doux, célébrant l'amitié, les racines et la musique, qu'elle que soit sa forme. Rien d'époustouflant ou de franchement nouveau mais un film assez harmonieux qui n'a pas peur des sentiments et qui aime ses personnages.
Créée
le 25 mars 2021
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