La pauvreté de ce scénario est à peine croyable. Jess Franco étire une histoire qui peinerait à remplir 20 minutes en plus de 90, il n'a strictement rien à raconter qu'il n'a déjà fait c'est-à-dire des vampires dénudées, des scènes érotiques sans but narratif précis, des séquences purement de remplissage. Oh bien sur, on voit les obsessions du cinéaste et on redécouvre les images qu'il adore mais c'est d'un vide absolu. Seule chose qui sort un peu de l'ordinaire de Franco, c'est que la vampire ne s'attaque pas au cou mais fait jouir jusqu'à la mort ses victimes-partenaires.