J'y vais j'y vais pas
J'y vais, j'y vais pas est un peu le tempo du film qui s'égare dans son intrigue, entre quiproquos et violence carcérale. Pascal Greggory vous entraînera avec lui si vous vous laissez séduire par ses...
le 2 mars 2018
2 j'aime
Créée
le 20 août 2014
Critique lue 429 fois
D'autres avis sur La Confusion des genres
J'y vais, j'y vais pas est un peu le tempo du film qui s'égare dans son intrigue, entre quiproquos et violence carcérale. Pascal Greggory vous entraînera avec lui si vous vous laissez séduire par ses...
le 2 mars 2018
2 j'aime
On ne badine pas avec l’amour ? Las ! Alain, la quarantaine fringante, ne semble pas avoir compris la célèbre maxime de De Musset, persistant à virevolter parmi ses amant(e)s avec une conviction...
Par
le 27 nov. 2012
1 j'aime
Un film intelligent qui reste très constant dans ces qualités,c'est à dire qu'il n'y a pas de mauvaises scènes,mais pas non plus des scènes mémorables. La qualité du flm repose sur ces acteurs et...
Par
le 15 mai 2021
Du même critique
Devant l'euphorie quasi général et les 10 millions d'entrées, je cède et ma curiosité devient motivation à franchir le pas vers ce qui m'est apparu dans la bande annonce comme étant un ramassis de...
Par
le 20 août 2014
4 j'aime
10 ans ont suffit à la régression. Après le formidable Garden State, Wish I Was Here s'érige au panthéon des parental reconciliation stories. En empruntant la police de caractères de The Descendants...
Par
le 21 août 2014
3 j'aime
1
La presse française semble aveuglé par la prestigieuse récompense et s'accorde au film noir. Suis-je bête? Inculte? Ou tout simplement hermétique à la culture chinoise? Comme les...
Par
le 20 août 2014
2 j'aime