Intéressant par sa technique des plans-séquences de dix minutes qui se succèdent et ajoutent au huis clos du théâtre filmé. On en vient à guetter davantage la chorégraphie de la caméra que ce qui se passe réellement, ce qui est un peu étrange mais fait aussi le charme de l'expérience.
Le personnage central, le meurtrier pervers exhibitionniste est assez fascinant. Le reste est plus convenu, comme la résolution de l'intrigue et le vibrant plaidoyer pour une morale par Stewart. Quant à la lecture sur la supposée homosexualité des deux personnages, c'est à mon sens aussi mineur que peu digne d'intérêt pour l'économie générale et l'esthétique de l'œuvre.
Sergent_Pepper
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le 19 juin 2013

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Sergent_Pepper

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