Déesse Andress
Mince, le pitch laissait un peu rêveur. Le casting aussi. On a bien une aventure, et c'est un peu ce qui sauve le film : on découvre une civilisation, des lieux inconnus, il faut éviter des pièges...
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le 30 avr. 2016
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Cette production anglaise de la Hammer exploite probablement le vedettariat récent d'une Ursula Andress aux formes généreuses mais au talent d'actrice limité. Cela dit, même si le casting est faible (dans le rôle du héros blond et bronzé, John Richardson est parfaitement transparent), c'est au metteur en scène qu'échoit la responsabilité de la médiocrité de cette aventure exotique.
Sur les terres de Palestine, trois anglais sont confrontés à la légende du royaume de Kama, gouverné par l'avenante et un peu sotte déesse de feu.
Le sujet n'a aucune envergure. A travers un récit péniblement discursif qui souligne l'absence de conviction et d'idées de la mise en scène, le cinéaste conduit ses personnages et stéréotypes sans épaisseur dans des décors en carton-pâte, à travers les clichés moyen-orientaux et les poncifs du cinéma fantastique. L'action et l'intrigue s'y trouvent tout autant maladroites que rudimentaires, entre rivalité amoureuse et affrontements tribaux, reflétant une approche particulièrement puérile et creuse.
Créée
le 8 janv. 2025
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