La dernière fois que j’ai vu Macao par Critikall
Le postulat est génial. Deux réalisateurs partent à Macao, pour y filmer les lieux d’enfance de l’un d’entre eux (entre autres). Sur ces images, les auteurs y inventent une fiction avec les films noirs hollywoodiens en tête et dont ils reprennent les codes. La première réussite de La Dernière fois que j’ai vu Macao, c’est de ne jamais tomber dans le film conceptuel. Au contraire, celui-ci se révèle ludique et pas loin d’être captivant avec son histoire de truands et de Mc Guffin prenant la forme d’une cage à oiseau.
Le résultat laisse apparaître une belle liberté qui témoigne surtout de la puissance du cinéma, prenant à la lettre l’expression selon laquelle derrière chaque image documentaire se cache une fiction possible. Par exemple, un passant prend son portable dans la ville et les réalisateurs en font un personnage de fiction. Il faut également saluer le...
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