Pour une chanson (ou deux) qu’on entend d’abord de l’autre côté du mur avant qu'elle ne rentre en coup de vent et en dansant dans la pièce.
Une statue de la vierge qui s’incarne. C'est furtif mais parfaitement et musicalement fait. Elle s'appelle Dolorès, évidemment.
Grémillon capte aussi très bien L'Espagne et son catholicisme tourmenté, les fêtes, les comportements qui en découlent par l’hétérogénéité des tons (du martyr spirituel à quelques moments de comédie sentimentale), bien organisée par le montage.
Un objet bien curieux en tout cas.