Le film de Joe Wright La Femme à la fenêtre doit beaucoup à presque tous les films d’Alfred Hitchcock jamais réalisés, en particulier dans leur ton, leurs visuels et leur humeur. Encore une fois, vous ne pouvez pas blâmer Wright parce que le matériel source par A.J. Finn est une arnaque directe de ces films. L’un étant Fenêtre sur cour, et l’autre, dans une moindre mesure, Psychose. Il faut se demander si le film et les créateurs ont payé pour leurs réticences depuis que le film et ses créateurs ont enduré tant de controverses. À l’origine, La Femme à la fenêtre devait sortir en salle en octobre 2019 plutôt que sur Netflix. Au lieu de cela, le film a été retardé au mois de mai suivant pour des reshoot. Terry Gilroy a été embauché pour réécrire le script de Tracy Lett (deux écrivains accomplis avec des sensibilités très différentes). Que pourrait-il arriver d’autre ? Pour couronner le tout, Finn a été critiqué pour avoir raconté une grande quantité de mensonges sur sa carrière et même pour avoir eu un cancer. Il a même essayé d’utiliser son trouble bipolaire comme une excuse, qui est une insulte à quiconque en souffre. Pour un homme qui peut tisser une histoire aussi complexe dans la vraie vie, on pourrait penser qu'il aurait la capacité d'écrire un livre sans avoir à organiser un marathon Hitchcock sur TCM.
Critique en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-la-femme-a-la-fenetre-melting-pot-de-flatteries/