Derrière cet intrigant titre digne d'un giallo se cache une évocation du théâtre du Grand Guignol via le destin d'une de ses stars (authentique) Paula Maxa. Un sujet en or mais dont le film ne se montre malheureusement pas à la hauteur. Le scénario est haché menu faute de canaliser ses passions, la facture visuelle est très pauvre et les acteurs sont d'une rigidité cadavérique. En attendant un remake plus inspiré, La Femme la plus assassinée du monde traîne sur Netflix parmi tant d'autres navets de la plateforme.
Par ici la bafouille : https://supermarieblog.com/2018/10/10/la-femme-la-plus-assassinee-du-monde/