L’ancienne dulcinée de Charles Lee Ray est assassinée par le poupard. Il transfère, ensuite, son âme dans un pantin.
Passé une scène d’introduction truffée de références aux confrères bogeymans de Chucky, on a droit davantage à une parodie (outre le titre qui pastiche allègrement La fiancée de Frankenstein) qu’à un film censé instaurer l’effroi. Néanmoins, le scénario est plutôt inventif ; en effet, doter le poupon appâté par l’hémoglobine d’une concubine pour un road trip aussi criminel que celui de Bonnie and Clyde et le nouveau look de l’insigne poupée est purement d’enfer.