La fille de son père nous décrit avec sensibilité une très riche relation père-fille portée par Céleste Brunnquell et Nahuel Perez Biscayart,
Mais la richesse du cinéma c’est quand un petit moment de grâce apparait pour faire basculer un film vers l’émotion, l’inattendu, l’universalité, que sais-je ?
Et ce petit film trouve sa force dans sa superbe scène (presque) finale sur une plage portugaise où l’intrigue se dénoue tout en ellipse.
Et oui, pour moi, contrairement à de nombreuses critiques, la seconde partie du film n’est pas de trop !