Bonjour.
Ce drame de la jalousie, et donc de l'amour (in)volontairement partagé, cadre bien avec l'époque du récit : la guerre de 1940-45 dans Londres bombardée.
On y croise l'amitié, l'amour, dieu, l'athéisme enragé, la guerre et la paix.
Curieux assemblage pour nos contemporains occidentaux, mais qui fonctionne, soutenu par ses deux acteurs principaux.
Un bon moment à partager, aujourd'hui assez décalé, avec une bonne dose de flegme britannique qui y est bien pour quelque chose.
Il est quand même assez contreproductif de mêler deux sujets aussi différents que l'amour humain, la fidélité conjugale et l'amour de dieu. Un côté sans doute lié à un puritanisme britannique aujourd'hui assez ringard... excepté pour les amateurs de tabloïds, britanniques de même.
Créée
il y a 17 heures
Critique lue 2 fois
D'autres avis sur La Fin d'une liaison
Londres,années 40.Maurice,écrivain,se lie d'amitié avec ses voisins Henry et Sarah,ne tardant pas à devenir l'amant de l'épouse,qui finit par le plaquer sans explication.Deux ans plus tard,ils se...
Par
le 22 févr. 2019
2 j'aime
Ce film de Neil Jordan possède une histoire tout ce qu'il y a de plus classique et académique mais un oeil aguerri remarquera des véritables qualités cinématographiques dans cette réalisation. Car...
Par
le 1 mars 2023
1 j'aime
Bonjour. Ce drame de la jalousie, et donc de l'amour (in)volontairement partagé, cadre bien avec l'époque du récit : la guerre de 1940-45 dans Londres bombardée.On y croise l'amitié, l'amour, dieu,...
Par
il y a 17 heures
Du même critique
Bonjour. Ce drame de la jalousie, et donc de l'amour (in)volontairement partagé, cadre bien avec l'époque du récit : la guerre de 1940-45 dans Londres bombardée.On y croise l'amitié, l'amour, dieu,...
Par
il y a 17 heures
Critique annulée par l'auteur.
Par
il y a 17 heures
Bonjour. Il semble y avoir dans les histoires traditionnelles japonaises une quasi obligation du récit métaphorique qui les mène à la limite du conte.Des métaphores particulières qui peuvent...
Par
il y a 17 heures
