La Galice jusqu'à l'hallali
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Un conflit oppose des paysans et une compagnie de Tokyo autour de l'approvisionnement en eau. Le Kobayashi socialement mpliqué se retrouve ici dans deux visions particulièrement opposées de l'évolution du Japon : celle des campagnards et celle des citadins, qui ne se préoccupe que de rentabilité. Mais comme souvent dans les premiers films de Kobayashi, l'intrigue n'est pas linéaire et abandonne son sujet premier pour ce focaliser sur un drame romantique, une histoire d'amour compliqué entre deux êtres orgueilleux. Le récit est trop dilué et sa richesse même est son principal défaut. Le film est marqué cependant par une maîtrise constante de la mise en scène et une interprétation de première ordre. Ineko Arima et Keiji Sada (tous les deux vus aussi chez Ozu) sont magnifiques, notamment le dernier nommé, avec son élégance à la Gary Cooper.
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Créée
le 30 juil. 2017
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