La Galice jusqu'à l'hallali
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En espagnol, fortaleza signifie à la fois forteresse et force intérieure. Le personnage principal du deuxième film du cinéaste vénézuélien Jorge Thielen Armand correspond bien à cette double définition : impénétrable et dur comme l'acier. Le réalisateur qualifie son film de"très personnel" avec son propre père en premier rôle qu'il ne ménage guère, il faut bien le dire, dans des péripéties en Amazonie, en particulier dans le rude monde des orpailleurs, où son physique est soumis aux pires épreuves. On a certes beaucoup de mal à comprendre la psychologie de cet homme mais on le suit avec une certaine fascination comme s'il devait affronter l'enfer avant de trouver la sérénité. Il est certain qu'un film se déroulant en Amazonie n'est jamais anodin et les autres scènes, tournées à Caracas, donnent aussi une idée palpable de ce que vit le Vénézuela depuis plusieurs années.
Créée
le 29 sept. 2020
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