Un "sans filtre" ante litteram, avant que la critique à la bourgeoisie devienne mainstream. Un crescendo écœurant dans lequel éros et thanatos se mélangent tout le temps.

AlessiaGreganti
8
Écrit par

Créée

le 18 mai 2024

Critique lue 6 fois

Critique lue 6 fois

D'autres avis sur La Grande Bouffe

La Grande Bouffe
BiFiBi
8

Le plaisir de mourir

(Attention, critique susceptible de contenir des spoilers) Marco Ferreri est un réalisateur que j'admire beaucoup, tout autant pour sa détermination à dépasser sans cesse les frontières posées...

le 29 oct. 2010

65 j'aime

3

La Grande Bouffe
Gerard-Rocher
8

Critique de La Grande Bouffe par Gérard Rocher

C'est un bien surprenant week-end que vont passer quatre copains: Ugo, un restaurateur, Michel, un réalisateur de télévision, Philippe, un juge et Marcello, un pilote de ligne. En effet ils ont...

le 14 oct. 2014

43 j'aime

15

La Grande Bouffe
socrate
3

Manger pour mourir

Il ne suffit pas d'avoir les bons ingrédients pour réussir la recette. Marco Ferrerri avait pourtant tout pour réussir son plat, avec une excellente idée de départ et cinq comédiens formidables, à...

le 30 août 2011

27 j'aime

5

Du même critique

Roma
AlessiaGreganti
6

Roma wasn't built in a day (mais, franchement, 2heures 15 c'est quand même trop pour ce type de film

Merveilleuses photographie et réalisation de la partie de Cuaron. Notes négatives: trop longue (je comprends que pour donner en même temps un aperçu de la période historique et de l'histoire de la...

1 j'aime

La maladie du dimanche
AlessiaGreganti
7

Les espagnols ne savent pas seulement faire des séries longues comme des telenovelas

Émouvant et féroce. L'histoire d'un rapport qui se construit lorsque tout se termine. L'ambiance visuelle du film est poignante et bien calibrée, avec des géométries qui nous font penser à un tableau.

1 j'aime