Franchement déçu par ce Suzuki. Le néofan que je suis était tout excité à l'idée de voir la Jeunesse de la bête avec les potos du ciné-club.
En plus, Scritch et Gizmo, amoureux de Suzuki de la première heure (de la première minute pour Scritch, il a vu la Jeunesse de la bête en 1994 !!!????), nous en faisaient la retap depuis un bail.

Mais en fait ça été plutôt un bide, malgré la suze du suzukien Scritch, malgré les glaçons de la fondante Gizmo, malgré les noix de cajou du cajoleur Labrador, malgré la présence odorante de l'adorable Torpenn.

Pour être franc, j'ai rien compris au film, bon j'étais crevé, j'étais allongé dans une chaise longue, les ronflements de Gizmo et Torpenn me berçaient, on va dire que c'était pas les conditions optima.
A la limite je m'en fous, c'est pas comme si les autres Suzuki que j'avais vus étaient éclaboussants de limpidité, mais là rien de tabaillot, pour parler comme Marius. Que dalle pour compenser.

Heureusement, l'homme-hamster gambade toujours aussi joyeusement. J'aime bien les docus animaliers, ça me détend.
Pruneau
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le 20 juin 2011

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Pruneau

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