On peut à juste titre estimer que 1h41 de très moche cinématique c’est un peu long. Et espérer que le jeu, lui, sera bien.
Je parlais il y a peu de la puissance de quelques lobbys dans l’industrie du cinéma, pointant par exemple, quand le résultat de son action est trop évident à l’écran (Man of steel), le lobby chrétien. J’ai sans doute pas vu venir, au vu de la surreprésentation du péplum numérique de ces derniers mois, celui de la fédération internationale du culturisme.
Certains points ne trompent pas avec cet Hercule: le manque de moyen ne joue par exemple aucun rôle dans cette bouillie artistique distribuée en salle. Quand on montre une chose simple comme une lune ou une rivière d’une manière aussi hideuse, il s’agit uniquement d’un manque absolu de gout et de talent.
Qu’on se le dise, une transition réussie ne coute pas plus chère qu’une ridicule.
Enfin, une question: les gens dont les noms apparaissent dans le générique de fin sont-ils incroyablement courageux ou sont-ils liés par contrats ?
(Et au fait, j’ai un principe: le 1, c’est quand l’idéologie qui sous-tend le film est nauséeuse voir abjecte. Pas quand c’est juste totalement stupide, laid et grotesque)
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Bon, allez, accouche !, Le duel, un désir mutuel d'être cruel, C'est mon dernier mot, Jean-Pierre, Une bonne et belle harangue retourne les troupes qui tanguent et Résolution 2014: je me rase le torze, j’apprends le morze, j’évite les entorzes, et je fais un tour en Corze