Charles Boulin est un employé qui travaille dans le surendettement.
Marié à Anne, il a une vraie difficulté avec l'argent, il est en somme "radin"
Un jour comme un autre, Après avoir visiter une maison, et se l'être fait souffler par son collègue de travail, car encore une fois trop frileux !
Il décide de faire la surprise, et d'investir dans une magnifique maison de campagne (magnifique étant le bon terme)
Son agent immobilier (truculent et délirant Daniel Prévost) ayant parfaitement su l'embobiner, le voilà donc futur propriétaire d'une maison en proche banlieue parisienne...
Synopsis très vaudeville, inspiré d'ailleurs d'une pièce de théâtre, la maison du bonheur est une comédie distrayante, avec de bons moments, notamment dans les règles de l'art du bricolage...
En effet, pipo et bimbo sont semble-t-il entrés dans la peau des "supers ouvriers" dont la mission est de restaurer cette "maison du bonheur"...
C'est du vaudeville, ça ne vole pas haut mais on sourit assez facilement des multiples malheur de notre radin de service.
Cette suite de catastrophe de toutes sortes suffit à détendre, et Met en exergue le célèbre adage,
le bonheur des uns (donc la maison du bonheur) fait le malheur des autres (donc la maison du bonheur)