Ruggero Deodato a grandement marqué les esprits avec son cultissime « Cannibal Holocaust », mais il n’a pas été le premier à s’exprimer en la matière, s’il est possible et juste d’utilises ce terme. Quelques années auparavant, Sergio Martino offrait aux aficionados de l’horreur un film certes conventionnel et pourtant très captivant. Il en ressort qu’après visionnage de « La Montagne du Dieu cannibale », le spectateur a le sentiment de ne rien avoir appris en la matière, sans pour autant avoir passé un mauvais moment. Ursula Andress, curieusement à côté de la plaque, n’apporte pas grand chose à cette fresque cannibale dans l’ensemble honorable.