Après un deuxième volet bien trash et purement dans l’esprit du bis l’époque, revoilà les monstres les plus torrides du cinéma pour un troisième opus.
On regarde la franchise la Mutante pour 2 choses : les nibards et les effets spéciaux. Même si le quota nibard est là, et que le body horror est toujours bien présent, force est de constater que le cahier des charges est moins bien rempli que les précédents.
Les créatures ont maintenant un design quelconque, on voit que les droits de Gieger sont passé à expiration.
Mais malgré tout, on passe un moment sympathique. Le film dure 2h et on les passe sans se faire chier. Grace à une esthétique qui sont bon les années 2000, un scénario d’étudiants en science (qui par conséquent connaissent sur le bout des doigts TOUTES les sciences) bancal mais suffisamment nanardesque pour pour tenir en haleine, et quelques morts bien créatives.
Si on est clément avec la Mutante 3, voire si on se dit qu’on matera une merde infâme, on finira agréablement surpris.
Du bon bis comme on aime.